Bahá’ís du Canada English

Congrès bahá'í national canadien

Du 24 au 26 avril, des délégués bahá’ís provenant des quatre coins du Canada se sont réunis à Toronto pour assister au congrès bahá’í national canadien et élire le conseil d’administration de leur communauté, l’Assemblée spirituelle nationale des bahá’ís du Canada.

Voici la liste des membres élus : Karen McKye de Toronto, Todd Smith de Guelph (Ontario), Borna Noureddin de Vancouver, Judy Filson et Enayat Rawhani de Toronto, Gordon Naylor de Stratford (Ontario), Elizabeth Wright de Québec, Susanne Tamas d’Almonte (Ontario) et Deloria Bighorn de Cowichan Valley (île de Vancouver).

Au congrès, les délégués ont discuté des activités bahá’íes, y compris des programmes bahá’ís mis en œuvre au niveau local dans le cadre de mesures adoptées par les bahá’ís du monde entier pour répondre aux besoins spirituels et moraux des enfants, des jeunes et des adultes. La communauté bahá’íe, dont le nombre de membres augmente sans cesse à l’échelle mondiale, voit des signes de réussite encourageants dans les efforts systématiques qu’elle déploie depuis plusieurs années pour mettre en place des programmes communautaires visant à aider les amis à apprendre comment mieux servir l’humanité au moment où le monde est confronté à de graves problèmes économiques et sociaux.

Les personnes présentes au congrès bahá’í étaient très conscientes de la menace qui pèse sur la vie des leaders bahá’ís en Iran, emprisonnés uniquement en raison de leur foi. La persécution des bahá’ís en Iran s’est intensifiée au cours des trois dernières années, ce qui a poussé l’Assemblée générale de l’ONU, l’UE et des gouvernements à l’échelle du globe à demander au gouvernement iranien de cesser de persécuter les bahá’ís, de relâcher les prisonniers bahá’ís et de mettre fin à une vaste gamme de violations des droits de la personne. Le 30 mars, la Chambre des communes du Canada a adopté à l’unanimité une motion multipartite condamnant les abus faits à l’égard des droits de la personne en Iran et demandant la libération immédiate des prisonniers bahá’ís.