Le cabinet d’architectes Hariri Pontarini a reçu le prix du cabinet d’architectes de l’année de l’Institut royal d’architecture du Canada (IRAC) pour 2013. Le prix a été remis en juin lors du festival d’architecture de 2013 tenu à Halifax.
L’Institut royal d’architecture du Canada qui représente plus de 4 600 membres est le porte-parole le plus important du domaine de l’architecture au Canada. Le prix du cabinet d’architectes de l’année décerné à un cabinet « récompense les réalisations du cabinet du point de vue de la qualité de ses travaux architecturaux, du service qu’il fournit à sa clientèle, de l’innovation dans l’exercice de la profession, des contributions à l’enseignement de l’architecture ainsi qu’aux institutions et associations professionnelles et enfin, de la reconnaissance publique. »
Quand il a annoncé le gagnant du prix, le jury a souligné que : « Les projets de la firme Hariri Pontarini Architects se distinguent tous par la rigueur, l’équilibre, le grand raffinement de la volumétrie, le choix judicieux des matériaux, le contrôle des détails et le grand soin apporté à l’exécution. Le jury a particulièrement apprécié l’étendue des réalisations de la firme – allant des tours d’habitation aux édifices publics – qui démontrent toutes une sensibilité à l’emplacement, au programme et à la tectonique. »
« C’est un grand honneur de recevoir ce prix, d’être placés en compagnie d’entreprises si prestigieuses et d’être choisis par nos distingués pairs, qui sont membres du jury », a déclaré Siamak Hariri, un des partenaires du cabinet.
Le cabinet Hariri Pontarini Architects, qui a été établi en 1994, a conçu et réalisé toute une gamme de projets culturels, universitaires, résidentiels, institutionnels ou commerciaux.
Vous pouvez accéder au portfolio du cabinet Hariri Pontarini Architects, en cliquant ici [en anglais].
Au nombre des projets en voie de réalisation, il faut prendre note du projet de réputation internationale de la maison d’adoration bahá’íe de Santiago, au Chili. Elle sera la dernière maison d’adoration continentale, au nombre de celles qui ont été érigées en Australie, en Allemagne, en Inde, au Panama, en Ouganda, aux États-Unis et au Samoa.
L’architecte Siamak Hariri désirait créer « un temple de lumière, invitant les gens de toutes les confessions ».
Il a dit que « La lumière, la force unificatrice de tout l’univers, donne forme à tous les aspects de notre conception. Le jour, la lumière vous attire vers l’intérieur et se concentre dans l’oculus. La lumière crée une expérience intérieure aux textures changeantes et d’un chatoiement imprévisible alors qu’elle est filtrée à travers les nervures de bois. »
« La nuit, l’enveloppe de pierre luit avec une sérénité de rêve. Une lumière dorée passe entre les pétales et la forme intérieure du bâtiment se révèle. »
Le projet de construction a débuté à la fin de 2010 avec les travaux d’excavation et doit être achevé en 2016. On peut accéder à une nouvelle vidéo sur les plus récents développements, en cliquant ici.
On peut obtenir de plus amples renseignements sur la maison d’adoration du Chili en visitant le site officiel du temple bahá’í de l’Amérique du Sud [en anglais].